Les confluences du bonheur

Les confluences du bonheur
Il me plaît, quand un songe me réveille, de te savoir allongée sur le flanc. Ta présence me rassure et j’aime toucher ton corps, alors que tu voyages dans des pays où je ne puis aller. Visites-tu les confluences du bonheur avec toutes les déclinaisons de passions et de beautés ? Ma tendresse patiente attendra ton réveil afin que sur ta joue je puisse déposer un baiser matinal. Que me rapportes-tu du pays des lumières ? As-tu vu les grands lacs, les montagnes et les forêts, qui je le crois, peuplent les autre mondes que l’on ne voit qu’en rêve ? Il me plaît de serrer ta main et d’éprouver la fraîcheur de ce contact. Alors, sans rien dire, nos pensées vagabondent ensemble et les mots deviennent superflus. Le temps nous a appris à respecter nos différences et les conflits s’apaisent avant d’avoir commencés. Les mots que l’on ne dit pas sont des joyaux que l’on garde dans sa bouche, mais il suffit d’un seul pour que ton âme s’éclaire. Le sablier du temps nous uniformise et nous fond en une entité unique. La fougue des folles années trouve un peu le repos mais l’attachement nous lie chaque jour un peu plus. Je trouve en toi la partie qui me manque et si parfois je te vois lassée de me sentir aussi près, n’oublies pas qu’il m’est difficile de ne pas respirer sans te savoir à mes côtés. Si tu t’éloignes, je te cherche, alors que mon cœur sais bien que tu n ‘es qu’à deux pas. L’amour est un diamant aux facettes multiples et celles qui sont dans l’ombre ne demandent qu’à s’éclairer.

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