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Commentaires Histoires Insolites

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FRANCOIS VEILLON

HISTOIRES INSOLITES

 

François VEILLON dispose d’un impressionnant parcours d’autodidacte qui lui a permis d’acquérir de solides connaissances dans des disciplines aussi variées que les sciences animales ou végétales, la psychologie, la médecine … ou  l’informatique. Sa curiosité pour les phénomènes inexpliqués l’a conduit à s’intéresser à la vie extra-terrestre, à l’ésotérisme, à l’occultisme, au paranormal, aux croyances et religions. Sa pratique poussée des arts martiaux, enfin, l’a rapproché des philosophies orientales

 

Riche de cette culture éclectique, François VEILLON, observe en humaniste la condition humaine et ses vicissitudes, dénonce les travers de ses semblables et de la société, prônant un monde meilleur.

 

Histoires Insolites traduit sa quête de justice, d’équité et de paix.

 

Ainsi, sont stigmatisés et punis :

 - la cruauté, qu’elle se manifeste envers les hommes (La tradition orale)  ou envers les animaux (Une fin bien singulière, Le pêcheur d’anguilles, Le pédalo de Damien)même si, parfois, le crime peut profiter à ses auteurs au moins temporairement (Le hale d’un jour d’été),

  - les excès et les injustices dans le monde du travail : l’exploitation des employés dévoués (Le taille-crayon), l’ambition stérile (Le chef, Le coquillage, Le perroquet), les rivalités (Le grain de sable), les licenciements dramatiques (Au fil de l’eau), la recherche égoïste du profit (Le directeur), 

 - la folie des hommes et de la société : l’avarice, l’appât du gain (La missive inattendue, Le gâteau des rois), l’adultère (Les inconséquences de l’adultère, Un distributeur récalcitrant), le mépris des plus faibles (Agnès de Bonnaventure, Une journée particulière, Passeport pour un euro), la xénophobie (Les convictions désavouées) ou le progrès systématique aux dépens de l’humain (Les banquiers).

 

L’aboutissement de cette logique moralisatrice peut  relever du domaine des croyances (Une fin bien singulière, Une délicate pensée, La dame blanche), mais aussi de l’absurde (Dérapages) ou du merveilleux (Un conte de Noël).

 

C’est dans un style brillant, souvent érudit, que l’auteur installe les situations, décrit les événements et imagine les sanctions dont la férocité est gommée par le ton enjoué, voire badin, du propos.

Mis à part une abondance de mots savants et quelques chutes par trop elliptiques qui risquent de déconcerter le lecteur non averti, l’ensemble est de lecture facile et distrayante, même si le fond est grave et invite à méditer.

 

A noter Le temps qui file, nouvelle efficace sur les forces occultes écrite par Séverine, fille de l’auteur, qui se distingue de la tonalité générale par un style haletant et une atmosphère résolument dramatique.

 

 

 

J-J-P

 

 

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